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J'ai perdu mon mari



Vous cherchez un spectacle, oui mais comment ?
Qu’il soit drôle et sérieux! Qu’il soit plein de vie et de couleurs!
Qu’il fasse rêver!

Alors “J’ai perdu mon mari ! ” est le spectacle que vous recherchez. Une mise en scène dopée, une action qui file. Un état d’improvisation permanent permet de saisir chaque remarque, chaque incident, et rend chaque représentation unique.

Suzanne vous emportera au fil de son histoire. Où elle fait sécher ses larmes, un élastique au bout duquel son mari apparaît et disparaît. Le cordon qui relie sa vie de ménagère à ses envies spectaculaires. One-man-show hilarant à mi-chemin entre théâtre et café-théâtre, surfe en permance sur des vagues de gags inattendus, de jeux de mots à l’humour décapant et de tendresse toujours sous-jacente.

"La scénographie extrêmement originale rajoute une dimension poétique à l’ensemble, ce qui en fait un vrai régal pour les zigomatiques. En effet, le dispositif de bobine enrouleur, faisant défiler sur un fil tendu en travers du plateau tous les accessoires illustrant la triste vie de «Toutoune», est une véritable trouvaille. Tour à tour corde à linge, décoration du 14 juillet ou personnage à part entière, ce fil témoin se déroule peu à peu au gré des souvenirs aléatoires de cette femme ridiculement attachante."
Le Progrès

Étrange amour, étrange personne que celle-là, qui nous dévoile sa vie: depuis la rencontre de sa moitié un soir de bal, aux jours qui lui ont donné quatre filles; de la recette du pâté d’anguilles au ménage forcené; d’Ernesto le danseur fou de tango argentin, aux après-midi «thé et cancan» avec Tante Agathe. C’est un seul et même comédien, Éric Brunel, régalant et émouvant, qui campe à lui seul tous les person-nages.Avec l’habile procédé d’un fil à linge qui déroule et abrite à lui seul tous les décors de ce quotidien doux amer.

"On sourit, on rit, et on ne peut s’empêcher de se prendre de compassion pour ce petit bout de femme énergique et attachant."
La Provence


L'histoire

"Une enfilade de scènes courtes, morceaux de vie, de ces moments où le quotidien est transpercé par un exceptionnel... Un lien scénique existe tout au long du déroulement de l’histoire, fil conducteur sur lequel Suzanne accroche ses états d’âmes. Une machine infernale qui broie ses regrets, exprime le jus de ses angoisses et invente une rédemption." Laurent Grauer Metteur en scène.